Khempone et Bounlasy, tous deux venus du Laos, ont rencontré l'asbl Passe-Muraille dans le cadre d'un programme d'échanges organisé par Handicap International. Le thème de leur visite : le droit au travail de la personne handicapée.
Le village de Porh, au Cambodge, dans la province de Siem Reap. Une petite bourgade comme tant d’autre, avec ses maisons sur pilotis, ses toits de feuilles de palmiers, au milieu des rizières. C'est là que vit Si Kea. Elle a perdu sa jambe droite à cause d'une mine. Elle avait quinze ans.
En 2012, Handicap International Belgique rejoindra officiellement la Fédération Handicap International. Petit rappel historique : en 1982, voilà bientôt trente ans, Handicap International était créé par deux médecins français. La section belge a vu le jour quatre ans plus tard, en 1986. Par la suite, d’autres sections se sont ajoutées, en Suisse, en Allemagne, au Grand Duché de Luxembourg, au Royaume Uni, au Canada et aux Etats-Unis. Fin 2009, ce mouvement a décidé de se constituer en Fédération.
Suite à la publication du Landmine Monitor 2011, le rapport mondial de l’Observatoire des Mines, Handicap International dénonce l’utilisation en 2011 de ces armes par quatre Etats non parties au traité. L’association s’alarme également du nombre toujours trop élevé de victimes. Si le rapport présente des conclusions positives concernant la dépollution des terres et le montant des financements dédiés à l’action contre les mines, il illustre plus encore la nécessité de poursuivre la mobilisation contre ces armes qui continent de tuer.
Des négociations se déroulent en ce moment à Genève, qui mettent en péril l’interdiction des armes à sous-munitions. En effet, ces négociations pourraient déboucher sur l’adoption d’un texte qui autoriserait certaines d’entre elles. Une série de pays parmi lesquels des pays européens signataires de l’interdiction des sous-munitions, tels que la France ou l’Allemagne, travaillent à un texte totalement inacceptable pour les victimes de ces armes.
L’Observatoire sur les armes à sous-munitions a présenté à Genève son rapport 2011. Ce rapport, très encourageant, dresse le bilan annuel du Traité d’Oslo qui interdit l’emploi, le stockage, la production et le transfert des armes à sous-munitions dans le monde. Ces résultats illustrent, en effet, l’impact humanitaire très positif du traité, notamment en termes de dépollution et de destruction des stocks. Ce succès prouve aux Etats réunis actuellement à Genève qu’ils ne doivent pas adopter le texte beaucoup plus faible discuté cette semaine dans le cadre de la Convention sur certaines armes classiques (CCAC).
Le projet d'insertion économique mené en Haïti va connaître une nouvelle impulsion en 2012. Ses activités seront scindées en deux volets complémentaires. L'un sera consacré à la sécurité alimentaire et doit permettre aux personnes handicapées d'avoir une source de revenus tandis que l'autre se penchera sur l'accessibilité dans un sens large. Mais ces changements ne diminuent en rien la motivation de l'équipe du projet.
La section belge et la section française de Handicap International sont toutes les deux présentes depuis plusieurs années au Vietnam. Dans la première moitié de 2011, nous avons signé une convention stipulant qu’à partir de septembre, les projets d’éducation inclusive et sur le VIH/Sida gérés depuis Lyon seraient transférés à notre équipe.
Il n’y a pas qu’en Belgique que l’on fait du sport pour Handicap International. Plus d’une trentaine de personnes soutenant le programme de lutte contre les mines, de Handicap International au Liban, participeront au marathon de Beyrouth en courant le parcours de 10 kilomètres le 27 novembre prochain.
Fin 2010, le virus de la polimyélite refait son apparition au Congo-Brazzaville. En mars 2011, une équipe de Handicap International partait pour Pointe-Noire afin d'aider les victimes de l'épidémie. Quelques semaines plus tard, le projet tournait à plein régime.
Aujourd’hui, l’un de nos patients, Josué, rentre chez lui après plus de 15 mois passés à l’hôpital. Il est devenu paraplégique suite à une blessure par balle. Il est heureux, il attendait ce moment depuis tellement longtemps. Sa maman l’accompagne, un grand sourire aux lèvres. Elle est fière de ramener son garçon - qui a mis ses plus beaux vêtements pour l’occasion - à la maison.
Pendant leur réadaptation, il est important que les personnes souffrant de lésions de la moelle épinière se soutiennent les unes les autres. C’est pourquoi Handicap International fait appel aux personnes ayant vécu les mêmes expériences. Ha Va Than Vo, un Vietnamien, est l’une d’entre elles.
Handicap International bénéficie d’une solide expérience dans le traitement des lésions de la moelle épinière, pour lesquelles il n’existe souvent pas de prise en charge adaptée dans les pays du Sud. « « Nous participons en premier lieu à la rééducation physique des patients », déclare Eric Weerts, spécialiste en réadaptation pour Handicap International. Son expertise dans le traitement des lésions médullaires, Handicap International l’a construite au Vietnam. Une expertise utile aussi dans les situations d’urgence.
Aujourd'hui, Won Hyon A peut à nouveau effectuer quelques pas. Pas évident, bien sûr, car cela fait plusieurs années qu’elle n’a plus marché et qu’elle devra dorénavant le faire avec de « nouvelles jambes ».
Son Altesse Royale la Princesse Mathilde, qui accompagne le Prince Philippe à l'occasion de sa mission économique en Chine, a profité de son voyage à Pékin pour rencontrer les responsables de Handicap International, ainsi que deux de nos partenaires travaillant à Pékin : les associations China Dolls et One + One.
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