Les bombes à sous-munitions, interdites par une convention internationale, ont tué ou blessé au moins deux fois plus de civils en 2016 qu'en 2015.
Au moins 500 personnes ont été tuées par les inondations et les glissements de terrain qui ont frappé Freetown, la capitale de la Sierra Leone, le lundi 14 août dernier. 800 autres personnes sont portées disparues. Handicap International (HI) et ses partenaires dans la région ont mis en place une action d’urgence pour venir en aide aux personnes qui en ont besoin.
Depuis le début de la guerre civil au Soudan du Sud en 2013, l’Ouganda a été un refuge sûr pour les personnes fuyant la guerre. Le 17 août dernier, le gouvernement ougandais et le Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (HCR) ont annoncé que le seuil des 1 million de réfugiés Sud-Soudanais en Ouganda a été atteint. Handicap International (HI) lance en septembre prochain des activités pour aider les nouveaux arrivants.
Inondations et glissements de terrain ont frappé le Népal au cours des cinq derniers jours. Les premiers bilans font état de 123 morts et d’au moins 35 disparus. Le Sud du pays est le plus touchée. Des milliers de maisons ont été inondées dans la province de Terai ; 80 % des terres arables ont été détruites. 600 000 personnes sont touchées par les pires inondations depuis 15 ans au Népal. Les équipes locales de Handicap International évaluent les besoins et le type d’aide qu’elles pourraient apporter.
Plus de 300 personnes ont été tuées, lundi 14 août, par des inondations et des glissements de terrain à Freetown, capitale de la Sierre Leone, suite aux pluies torrentielles qui se sont abattues sur le pays. 3 000 personnes se retrouvent sans abri. Handicap International se mobilise pour venir en aide aux plus vulnérables.
Une grande partie des 6.3 millions de Syriens déplacés dans leur propre pays vivent dans des bâtiments à moitié consruits ou même des tentes. Ils dépendent des distribution de nourriture et de biens de premières nécessité pour survivre.« Nous avons fui notre ville en emportant le minimum avec nous. Alors nous avons réellement besoin d'une aide comme celle-là. »
Beaucoup d'habitants de Mossoul, blessés et traumatisés, ont dû attendre beaucoup trop ongtemps avant de recevoir des soins. Leurs blessures sont devenues des handicaps et leurs souffrances psychologiques sont importantes. Les équipes de Handicap International donnent le meilleur d'elles-mêmes pour les aider à surmonter cette tragédie.
Rose a du quitter son mari pour sauver ses enfants. Elle fait partie des réfugiés poussés à tout abandonner à cause de la crise alimentaire.A peu près 80 % de ces réfugiés sont des femmes et des enfants qui ne trouvent plus assez de nourriture pour survivre.
"Ma famille et moi, nous n’avions jamais connu une telle situation de conflit, où les balles volent de tous les côtés." Sulu Bellarmin, l'un des membres congolais de notre équipe, témoigne de la gravité de la situation au Kasaï, sa région.
Handicap International travaille dans deux hopitaux de Mossoul mais a également étendu son aide d'urgence à un centre de santé dans la ville. Depuis le début de l'offensive militaire à Mossoul, plus de 485.000 habitants ont fui les combats. Des centaines de milliers de personnes sont pris au piège des combats.
Sondos a 8 ans et vient d’une zone assiégée de la banlieue de Damas. En 2016, elle a été victime d’un bombardement avec sa famille. Réfugiée avec ses parents au Liban, elle bénéficie de séances de soutien psychologique dispensées par Handicap International.
Jomaa, 55 ans, est originaire de Homs, en Syrie. En 2014, il a été blessé à l’épaule lors d’un bombardement. Au Liban depuis 2016, Jomaa bénéficie de sessions de réadaptation proposées par Handicap International. Car plus de deux ans après le bombardement, les séquelles sont toujours présentes.
Hussein a 15 ans. Fin 2016, il a été blessé lors d’un bombardement à Idlib, en Syrie, qui a tué la moitié de sa famille. Amputé d’une jambe, il s’est réfugié au Liban où il est aidé par une équipe de Handicap International. "Je ne pense pas à l’avenir, il n’y en a plus pour moi."
Khaled avait seulement un an lorsqu’il a perdu une jambe au cours d’un bombardement en Syrie. Ses parents sont décédés ce jour-là. Il grandit désormais avec sa tante, réfugiée au Liban. Handicap International accompagne le petit garçon par des sessions de soutien psychologique.
Adballah, 16 ans, est originaire de la ville de Deraa, en Syrie. Il a perdu sa jambe gauche dans un bombardement en 2014. Sa maman a alors fuit avec lui pour trouver refuge en Jordanie. Abdallah a reçu une prothèse depuis peu et a réappris à marcher, avec l'aide de Handicap International.
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