Alors que l’association poursuit le déploiement de ses équipes aux Philippines, elle envoie dans le même temps des kits d’urgence supplémentaires et des pompes qui peuvent filtrer jusqu’à 300 litres d’eau potable par heure.
Une première équipe d’urgence est arrivée ce mardi aux Philippines pour apporter de l’aide aux victimes du typhon Haiyan qui se comptent par centaines de milliers. Handicap International devrait mettre en place une plateforme logistique pour permettre l’accès à l’aide humanitaire, pour les zones les plus isolées.
La petite Ngila, 3 ans, est l’une des jeunes patientes accueillies dans le service spécialisé dans le traitement des enfants infirmes moteur cérébraux mis en place aux Cliniques universitaires de Kinshasa (CUK) par Handicap International, en partenariat avec les CUK. Sa grand-mère, maman Marie-Jeanne, vient trois fois par semaine depuis deux mois pour le traitement de la petite.
Compte tenu de l'ampleur de la catastrophe qui frappe les Philippines, Handicap International a envoyé lundi une équipe de spécialistes de l'urgence, qui viendront renforcer les personnels de l'association déjà sur place. L'objectif est de prendre en charge les personnes plus vulnérables (personnes handicapées, personnes âgées, enfants…), dont la situation est particulièrement précaire dans ce type de circonstances.
Le Typhon Haiyan qui vient de balayer une partie des Philippines pourrait avoir fait plus de 10 000 morts. Handicap International, déjà présente aux Philippines, s'apprête à se rendre sur la zone la plus touchée.
Annoncé comme le plus violent au monde cette année, le super typhon Haiyan frappait tôt ce vendredi matin 8 novembre les côtes Est de l'archipel avec des vents soufflant par rafales jusqu'à 315 km/h, selon l'agence météo des Philippines.
Isaline, kinésithérapeute, est une habituée des missions dans des contextes d’urgence : Haïti, la Côte d’Ivoire, le Soudan du Sud… A 28 ans, la jeune femme a déjà roulé sa bosse aux quatre coins du monde. Elle évoque son expérience à quelques jours de son départ pour une nouvelle mission.
Amputé suite à une blessure, Mohamad Ali est désormais réfugié dans la plaine de la Bekaa au Liban avec sa famille. Il est l'une des nombreuses victimes du conflit syrien prises en charge par Handicap International.
Esraa, 9 ans, a été blessée par le tir d'un sniper. La balle a causé d'importantes blessures, notamment à la colonne vertébrale. Esraa s'est retrouvée paralysée. Aujourd'hui réfugiée en Jordanie, elle est prise en charge par Handicap International.
La révolution libyenne s’est terminée il y a deux ans, le 20 octobre 2011 avec la chute de Syrte et la mort du Colonel Kadhafi, mais les combats ont laissé des traces et le danger menace toujours les Libyens au quotidien. Des familles ont retrouvé des restes explosifs de guerre chez elles, dans leur jardin, leur salon, la chambre des enfants ou encore sur leur lieu de travail. Sur place, un des projets de Handicap international consiste à déployer des équipes de dépollution à Tripoli, Misrata et Syrte afin de retirer tout engin non explosé qui menace les populations civiles.
Deux ans après les inondations qui ont dévasté la région d’Orissa, un cyclone a frappé les côtes de ce territoire du Nord Est de l’Inde. Des vents à plus de 240 km/h ont causé d’importants dégâts matériels. Seulement 14 victimes ont pour l’instant été recensées alors qu'il s’agissait de la tempête la plus violente dans la région depuis 1999. Pour David Gautier, directeur de Handicap International en Inde, la préparation de la population a permis d’éviter le pire.
Le 13 octobre est la Journée internationale de la gestion des risques, consacrée en particulier cette année à la prise en compte des personnes handicapées. Nos équipes travaillent dans huit pays en Asie et dans les Caraïbes pour mieux protéger la population – et en particulier les personnes handicapées – contre les catastrophes naturelles. Annie Lafrenière, référente technique en gestion des risques de catastrophes pour Handicap International, explique en quoi cela consiste.
Le gouvernement enterre la coopération au développement en opérant des coupes inadmissibles… Les ONG - dont Handicap International - réagissent. Elles ont adressé un courrier à Olivier Chastel, Ministre du Budget.
Christoph a travaillé au Burundi comme technicien orthoprothésiste pendant trois ans et demi. Son contrat terminé, il revient en Belgique s’installer. L’occasion pour lui de dresser le bilan de son expérience burundaise." Je suis tombé amoureux du Burundi. "
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