La ville de Goma est tombée hier aux mains du Mouvement du 23 mars (M23) [1], suite à des affrontements avec les Forces armées de la République Démocratique du Congo (FARDC). Handicap International a été contraint de suspendre ses activités dans la région depuis lundi. Les personnes les plus vulnérables auxquelles l’association vient quotidiennement en aide se trouvent particulièrement fragilisées par cette détérioration de la situation. [1]Le Mouvement du 23 mars (M23) est une faction armée rebelle formée au printemps dernier.
Ne perdez pas une minute et soutenez les actions d'urgence de Handicap International ! Grâce à votre don, nous pourrons offrir une aide aux victimes de la catastrophe, notamment dans les zones où aucune autre organisation humanitaire n'est active.
Tandis que l’impact de plusieurs jours d’escalade de la violence s’aggrave pour les civils de Gaza et d’Israël, un groupe de 37 ONG humanitaires et de développement membres d’AIDA (The Association of International Development Agencies), dont Handicap International, appelle aujourd’hui les dirigeants mondiaux à agir de toute urgence pour faire appliquer un cessez-le-feu, protéger les vies et infrastructures civiles, et prévenir un autre désastre humanitaire à Gaza qui résulterait d’une confrontation militaire prolongée.
Contrairement aux idées reçues, le diabète n’est pas une maladie de « riches ». Dans les pays en développement, le nombre de diabétiques augmente de façon inquiétante. D’après l’OMS, 551.8 millions de personnes seront atteintes de la maladie d’ici 2030. Alors qu’une prise en charge est essentielle pour les malades, l’accès aux soins est très difficile dans les pays pauvres, pourtant les plus touchés par la progression du diabète (+ 50 % d’ici 2030).
Au lieu de faire mon service militaire, je suis parti en Thaïlande. Je suis entré chez Handicap International en 1991, pour y faire mon service civil. J’ai travaillé pendant deux ans dans les camps de Thaïlande qui accueillaient des réfugiés cambodgiens. Je m’occupais entre autres de la coordination des soins dispensés aux personnes en situation de handicap, par exemple des personnes blessées par l’explosion d’une mine ou des enfants atteints d’une malformation congénitale.
Née dans un contexte d’urgence auprès des réfugiés cambodgiens, Handicap International a toujours répondu présente pour les victimes de crises humanitaires, qu’elles soient consécutives à des conflits ou à des catastrophes naturelles. Lors de crises, elle intervient auprès des populations déplacées, réfugiées ou sinistrées en portant une attention particulière aux personnes handicapées et vulnérables.
98% des victimes recensées de sous-munitions sont des civils , 1/3 des personnes blessées ou mutilées par des mines ou autres restes explosifs de guerre sont des enfants . Face à ces constats accablants, Handicap International s’est engagée à lutter contre ces armes, dont la caractéristique commune est de continuer à tuer ou à mutiler longtemps après la fin des conflits.
Selon un rapport de l’OMS , 1 milliard de personnes sont handicapées dans le monde. Elles représentent 15% de la population mondiale. Une très large partie vit dans les pays en développement. Elles sont souvent oubliées des politiques nationales et des programmes de solidarité internationale. Les équipes de Handicap International travaillent avec et au nom de cette minorité au travers de projets visant à lui offrir un meilleur accès à la santé, à l’éducation, à l’emploi ou aux loisirs.
Cambodge, Roumanie, Rwanda, Sierra Leone, Pakistan, Haïti… L’histoire de Handicap International s’est écrite face aux pires injustices ou catastrophes de ces 30 dernières années. Dans les situations de conflits, de cataclysmes naturels ou de dénuement extrême, là où les systèmes sociaux et les structures de santé sont inexistants ou défaillants, l’urgence d’une aide aux populations justifie souvent une réponse massive qui, dès lors, ne sait pas suffisamment prendre en compte les besoins spécifiques des individus fragilisés et leurs familles, notamment les personnes handicapées. Oubliées, laissées pour compte de la solidarité internationale, celles-ci sont invariablement exclues des plans d’action humanitaire
L’aide au développement est l’une des principales victimes des récentes coupes budgétaires. Non seulement, des économies sont annoncées pour l’année prochaine mais, en outre, les dépenses en cours pour 2012 ont été gelées d’un coup. Selon les calculs de la coupole regroupant les organisations Nord-Sud francophones, le CNCD-11.11.11, plus de 400 millions d’euros sont en jeu. Enfin, tout ça, on le savait déjà la semaine dernière. Mais avez-vous la moindre idée de la réalité qui se cache derrière ce chiffre ?
« Empêcher les enfants d'être handicapés à vie. », voilà l'objectif principal des kinésithérapeutes de Handicap International dans les camps de réfugiés du Soudan du Sud. « 30 % des enfants que nous avons examinés souffrent d'infections respiratoires et 40 % sont atteints d'un retard de développement. »
Handicap International poursuit son action pour venir en aide aux Haïtiens qui ont été gravement frappés par l’ouragan Sandy le 24 octobre dernier. L’organisation distribue des kits d’urgence, du chlore pour prévenir le choléra et se prépare à amplifier sa réponse à l’urgence. En effet, la situation est extrêmement préoccupante : certains villages restent coupés du monde, l’habitat a été fortement endommagé, les cas
Le Ministre belge de la Coopération au développement, Paul Magnette, a rencontré ce matin l’équipe d’Handicap International au Laos. L’occasion de se faire une idée concrète des actions menées par l’ONG.
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