Musa est content de pouvoir s'échapper un peu du camp de réfugiés. Au centre Handicapés de Goma, où il a été amené par Handicap International qui l’a identifié comme personne très vulnérable, c'est le retour au calme. Et si tout se passe bien, il pourrait recevoir une prothèse.
N’Degeya a déjà oublié ce qu'était sa vie avant le camp de réfugiés. A moitié aveugle, avec sa famille, elle tente de survivre. Et pour cela, il y a les petits cochons d’Inde.
Pour que les personnes handicapées bénéficient des mêmes droits que les autres, Makuu veut plus tard rédiger des lois. Et elle le fera, très élégamment même, avec ses pieds.
Après une attaque contre son village natal, Arivera a pu s’échapper et a vécu seule dans la rue pendant dix ans. Maintenant, elle s'est installée dans un camp de personnes déplacées. Elle y est accompagnée entre autres par Handicap International.
Le visage de Kahinja est rayonnant, ce qui fait qu’il donne bien l'impression d'être un garçon de dix-huit ans presque insouciant et non un jeune adulte chargé d'entretenir une famille de sept enfants. Ce jour-là, au Centre pour handicapés Shirika la Umoja de Goma, Kahinja procède au premier essayage de sa prothèse.
Bikram Malla, troisième d’une famille de quatre garçons, est né avec des pieds bots, qui l’empêchaient de marcher et de se sentir à l’aise en présence d’autres enfants ; jusqu’à être opéré avec succès il y a deux ans avec le soutien de Handicap International. Grâce à cette opération Bikram accepte maintenant d’aller à l’école où il retrouve ses camarades et s’assoit au premier rang pour ne rien manquer des leçons.
Handicap International intervient dans la province de Savannakhet, au Sud du Laos, pour lutter contre les mines et restes explosifs de guerre encore présents. Alors que des équipes établissent une carte détaillée des zones touchées, une autre s’occupe de la destruction des munitions identifiées. Une dernière sensibilise les populations aux dangers que représentent ces engins non explosés . Des activités complémentaires qui permettent d’agir efficacement pour la réduction de la menace de ces armes.
En Jordanie, où les réfugiés syriens continuent d’affluer, Handicap International vient en aide aux blessés et aux plus vulnérables.
Ngiko est persuadé que ses douleurs disparaîtront lorsque la balle qui a touché sa poitrine lui aura été enlevée. L’opération étant impossible, Ngiko devra apprendre à vivre avec cette balle, avec le soutien de Handicap International.
Mbetsa a peint en rouge les ongles du pied de sa prothèse. De loin, on voit à peine la différence avec son vrai pied. Mbetsa est une femme fière, malgré les nombreux événements douloureux qu'elle a connus.
Après son accident, Nyirarukundo a été abandonnée par son mari. Elle est allée habiter dans un camp. Handicap International veillera à ce que son œil soit opéré pour qu’elle ne devienne pas aveugle.
A cause d'une balle reçue dans la jambe, a fallu amputer Balume. Depuis lors, il avait le sentiment d’être condamné à la misère. Grâce au soutien de Handicap International, il espère démarrer dans une nouvelle vie en tant que cordonnier.
Depuis que Handicap International lui a procuré deux cochons, Lukoo a débuté une activité de boucher. C'est un métier que son corps marqué par des éclats de grenade lui permet d'exercer parfaitement.
Les cicatrices morales résultant des blessures par balles ne disparaîtront probablement jamais. Cependant, deux ans après le drame, Riziki (19 ans) voit de nouveau positivement l'avenir : “Je vais terminer l'école et devenir couturière.”
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