Ayman Ghazal a travaillé avec Handicap International pendant deux ans, au Sud Liban. Il a été superviseur des équipes chargées du déminage humanitaire dans des zones affectées par les sous-munitions. En marge de la conférence de suivi de l'interdiction des sous-munitions, qui se déroule au Liban, nous avons demandé à Ayman de témoigner de son expérience.
Le Liban, pays dévasté par les armes à sous-munitions, accueille la seconde Conférence internationale du Traité contre ces armes. Les Etats devront y présenter des plans précis pour la mise en œuvre du Traité, notamment en termes de dépollution, de destruction des stocks et d’assistance aux victimes. Un symbole fort, cinq ans après le drame du Sud-Liban : quatre millions de sous-munitions avaient alors été déversées par Israël sur la région, la plupart dans les 72 dernières heures du conflit.
Eugénie Kabeya est créatrice de mode et l’une des coutières les plus fréquentées de Kinshasa. Installée à Bandalungwa, l’une des 24 communes de la capitale, cette femme dynamique de 40 ans, handicapée depuis l’âge de cinq ans suite à une polio, assume seule la charge des six personnes qui partagent son domicile. Quatre générations se mêlent dans cet atelier du cœur de Kinshasa.
Pour répondre aux besoins suite à la famine dans la Corne de l'Afrique, Handicap International augmente son équipe dans le camp de réfugièés de Dadaab, passant de 23 à 100 personnes (expatriés et personnel national). Une nécessité, pour fournir une aide adaptée le plus rapidement possible aux réfugiés les plus vulnérables.
L’avancée importante des troupes insurgées en Libye et la chute de Tripoli ne signifient pas la fin du danger pour les populations civiles. Ces derniers jours, Handicap International a identifié un nouveau danger particulièrement prégnant : la prolifération d’armes légères de toutes sortes entre les mains de civils qui ne maitrisent pas leur maniement. L’association lance donc des actions de prévention spécifiques concernant les armes légères, tout en intensifiant les séances d’éducation aux risques des mines antipersonnel ou des restes explosifs de guerre.
Bruxelles, le 31 août. 2011 - L’avancée importante des troupes insurgées en Libye et la chute de Tripoli ne signifient pas la fin du danger pour les populations civiles. Outre le danger des mines, Handicap International a identifié un autre danger particulièrement prégnant : la prolifération d’armes légères de toutes sortes entre les mains de civils qui ne maitrisent pas leur maniement. L’association lance donc des actions de prévention spécifiques concernant les armes légères, tout en intensifiant les séances d’éducation aux risques des mines antipersonnel ou des restes explosifs de guerre.
L’armée israélienne a récemment indiqué avoir posé de nouvelles mines antipersonnel sur le plateau du Golan, le long de sa frontière avec la Syrie, pour se prémunir de son franchissement par des civils. Membre fondateur de la Campagne internationale pour interdire les mines (ICBL), Handicap International demande à Israël de renoncer à recourir à une arme déclarée illégale par une large majorité de nations.
Handicap International, présente en Libye depuis plusieurs mois pour assurer des opérations de prévention face aux dangers des mines et engins non explosés se tient prête à se rendre dans les secteurs affectés par les derniers affrontements.
Antoine Larochette, chef de mission urgence pour Handicap International au Kenya sillonne les camps de Dadaab depuis plusieurs semaines. Il a pu constater lui-même que le nombre de réfugiés continue de croitre. Parmi eux, les plus vulnérables ont besoin d’une prise en charge particulière.
Handicap International aide les victimes d'inondations de juillet et août 2010 au Pakistan grâce à des actions concrètes et durables. Cela va depuis la distribution de kits d'aide jusqu'à la construction d'abri.
Le 1er août, cela fait très exactement un an que la Convention relative aux armes à sous-munitions est entrée en vigueur : les stocks doivent être détruits, les terres débarrassées de ces armes en cours de nettoyage et les survivants recevoir une assistance. Mais l'enthousiasme doit être tempéré: pour la première fois depuis des années, on a de nouveau employé des sous-munitions pour faire la guerre.
Handicap International agit depuis bientôt 20 ans dans la région de Dadaab, avec une présence dans les camps de réfugiés depuis 2007, en aide aux personnes les plus vulnérables et aux personnes handicapées. En raison de la famine, les besoins ont augmenté. Nos actions ont donc été adaptées et accrues. Voici un aperçu des activités en cours.
"Chaque jour, environ 1300 réfugiés somaliens totalement épuisés parviennent au camp de Dadaab. Souvent, ils ont parcouru 300 ou 400 km sous le soleil. Beaucoup d'enfants handicapés sont transportées en brouette." Bernard Franck, un kinésithérapeute belge travaillant pour Handicap International, voit chaque jour les besoins augmenter à la frontière entre le Kenya et la Somalie.
Selon les Nations unies, la crise dans la Corne de l’Afrique est la pire crise alimentaire que le monde ait connue depuis 1991. Près de 11 millions de personnes doivent aujourd'hui affronter la disette, voire la famine. On estime à 2 millions le nombre d’enfants de moins de cinq ans sous-alimentés.
Suite à une évaluation des risques liés aux mines et restes explosifs de guerre, Handicap International mène depuis début avril une mission d'urgence d'éducation aux dangers de ces armes auprès des populations menacées. Aujourd'hui, l'association a renforcé ses équipes sur place et étend ses zones d'activité.
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