Du fait de deux mauvaises saisons des pluies consécutives, certaines parties du Kenya, de l’Ethiopie, de Djibouti et de la Somalie traversent, depuis l’an dernier déjà, une sécheresse très sérieuse. Tout semble indiquer que les pluies vont encore se faire attendre. 10 millions de personnes sont ainsi plongées dans la famine, la pire sécheresse en 60 ans. Caritas International, Médecins du Monde, Handicap International, Oxfam-Solidarité et UNICEF Belgique, les organisations membres du Consortium belge pour les situations d’urgence, sont actives dans la région et appellent le public à soutenir leurs actions.
Les images semblent si proches… La terre qui tremble, un palais présidentiel effondré, des milliers de morts, de blessés, de sans-abris… 18 mois plus tard, le verdict est contrasté : si les blessés – et l’ensemble de la population de Port-au-Prince – bénéficient de soins de santé efficients, une fraction trop importante des habitants vit toujours sous tente, dans des conditions difficiles. Et les personnes handicapées ont besoin de soutien pour surmonter de nouveaux défis.
Le 22 juin dernier, trois médecins vietnamiens, un stagiaire et le directeur de l’hôpital de réadaptation de la province de Thanh Hoa ont effectué une visite dans les locaux de Handicap International à Bruxelles. Au même moment, une délégation belge faisait le voyage pour rencontrer Handicap International au Vietnam.
18 mois après le 12 janvier 2010, les soins d’urgence ont fait place à la réadaptation, puis au retour à la maison. Mais pour les personnes souffrant désormais d’une infirmité permanente, il faut s’adapter à une vie nouvelle, apprendre à être autonome et être accepté dans la société. Un défi énorme que Handicap International s’attelle à relever.
Handicap International travaille dans différents pays afin de soutenir les personnes en situation de handicap. Beaucoup sont devenues handicapées après un accident, par exemple suite à l’explosion d’une mine ou une sous-munition. Un tel accident est pour les victimes une expérience potentiellement traumatisante. « Les personnes qui ont un trauma trouvent dans une prison émotionnelle » explique Norbert Häberlin, un psychothérapeute qui a collaboré avec Handicap International à de nombreuses reprises.
Lors de notre voyage dans la province Khanh Hoa, nous sommes arrivés dans le district de Dien Khanh, où nous avons pu rendre visite à Mr Nguyen Anh Quoc – 28 ans- un autre bénéficiaire du programme RBC.
L’épidémie de choléra, qui est apparue en octobre 2010 en Haïti connait un nouveau pic. Le Bureau de la coordination des Affaires humanitaires des Nations unies (OCHA), estime que « l’épidémie a causé des dizaines de morts durant les dernières semaines », alors que la saison des pluies et la période cyclonique débutent. Depuis la survenue de l’épidémie, plus de 5 400 personnes sont décédées, selon les Nations unies.
Melle Ngan travaillait dans notre équipe de réadaptation à base communautaire. A l’époque et durant des années, elle s’est occupée de Bui Thi Minh Ha, chez qui nous nous rendons aujourd’hui. Melle Ngan raconte : “Nous lui donnions un traitement de kinésithérapie et fabriquions des orthèses depuis qu’elle était toute petite. Aujourd’hui, elle est couturière et forme une famille heureuse avec son mari et un adorable petit garçon. »
Souvenez-vous. Fin juillet et début août 2010, des pluies de mousson torrentielles s’abattent sur le Pakistan. Des cours d’eau sortent de leur lit, des régions entières sont noyées sous les eaux. Ce sont les pires inondations depuis 1929. Trois provinces, dont le Penjab et le Sindh, très peuplés, sont affectées. Le bilan humain sera lourd, très lourd : 20 millions de personnes sont touchées. C’est plus que le tsunami de 2004, plus que le séisme en Haïti. Six mois après la catastrophe, 100.000 hectares de terres étaient toujours inondés.
Potosi est un département montagneux dans le sud-ouest de la Bolivie. Bien que la région soit très pauvre, très peu d’ONG internationales y travaillent. Handicap International, certain que les besoins des personnes handicapées y sont importants, vient de commencer un projet. C’est la première fois que l’organisation intervient dans ce pays.
L'Organisation mondiale de la Santé (OMS) et la Banque mondiale publient le premier rapport mondial sur le handicap. Ce rapport va utilement contribuer, par une dimension praticienne, à la mise en œuvre de la Convention des Nations unies relative aux droits des personnes handicapées. Sa publication est l’occasion pour Handicap International de souligner la vulnérabilité particulière des personnes handicapées dans les pays en développement.
D’après un rapport sur les investissements dans les armes à sous-munitions, pourtant interdites, il ressort que 166 banques partout dans le monde investissent toujours 39 milliards de dollars dans la production de sous-munitions. Handicap International appelle les pays européens à interdire ces investissements dans leur législation.
“Quand vous trouvez sur le sol un objet que vous ne connaissez pas du tout, vous ne pouvez surtout pas le toucher. Vous devez marquer la zone et avertir quelqu'un de Handicap International. Les enfants libyens apprennent comment réagir quand ils trouvent une mine antipersonnel ou une sous-muntion, deux armes interdites par des traités internationaux qui ont pourtant été utilisées par le colonel Kadhaffi le mois précédent.
Ce 11 mai a été marqué par le lancement de la Décennie Mondiale pour la Sécurité routière. Par cette action, les Nations unies souhaitent stabiliser puis faire baisser le nombre sans cesse croissant de morts sur la route. Un objectif que poursuit également Handicap International au travers de plusieurs projets menés dans le Sud.
Le Conseil national de transition libyen s’est engagé contre les mines terrestres. Ces armes, utilisées pas les forces de Mouammar Kadhafi en mars dernier, représentent aujourd’hui une menace directe pour les civils. Handicap International renforce sa présence sur place et intervient au quotidien pour sensibiliser les populations menacées.
Par pays
Lorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Nulla dui ipsum, maximus ac varius id, luctus ac ligula. Phasellus rhoncus turpis quis tristique accumsan. Phasellus accumsan sed elit non dapibus. Vivamus non ligula sit amet nunc porta pretium. Sed auctor mauris quis metus imperdiet, a facilisis elit molestie. Etiam sit amet mollis ante. In rutrum ligula sit amet lorem condimentum, et pretium nunc aliquam. Nulla facilisi. Sed in libero erat. Ut interdum feugiat odio, non scelerisque augue tincidunt ut. Ut sit amet tristique ipsum.